
Lorsqu'il passera le relais, après les élections du 23 octobre 2011, à Abdelwaheb Maatar (CPR), on s'attendait à ce qu'il reprenne un poste élevé dans une multinationale, mais le voilà choisir de rester à Tunis et s'offrir une année sabbatique. Voyant l'œuvre de la Troïka au pouvoir, il ne pouvait plus garder son indépendance et refuser de prendre sa carte dans un parti politique. L'occasion se présentera lors de la fusion Afek-PDP pour créer Al Jomhoury. Saïd Aïdi, fortement sollicité par les uns et les autres, acceptera de s'y joindre. Pas pour longtemps. Afek reprendra ses billes et Saïd fera alors son ultime choix : rallier le tout naissant parti Nidaa Tounes pour s'occuper des jeunes.
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